PIPOL NEWS* : Théodora, tu es bulgare. Tu es venue travailler au Courtil. En quoi consiste ton activité depuis ton retour en Bulgarie ?
Pipol News* : Janusz, je crois savoir que vous avez exercé comme médecin dans les ambulances avant de vous engager dans la pratique analytique. Comment cela s’est-il fait ?
Daniel Roy : Chère Maria Sueli, vous avez depuis longtemps porté votre attention de psychanalyste sur les plus neufs d’entre nous, les tout jeunes enfants. Comment en êtes-vous venu à privilégier les tout petits ?
Avant d’être psychologue, tu travaillais comme psychomotricien dans un hôpital, Comment qualifierais-tu le passage de psychomotricien à une pratique analytique ?
Durante las simultáneas de Pipol 6 hablarás de un caso de la institución, ¿Cómo es hoy trabajar en institución en Cataluña orientándose por el psicoanálisis lacaniano?
Chère Salvina, vous êtes jeune, liégeoise, membre de l’ACF-Belgique, vous dirigez un service agréé par l’Aide à la Jeunesse. Qu’est-ce que c’est ce service ? Que faites-vous exactement ?
Bilyana, je suis chez toi, à Roussé, ville de province bulgare sur la rive du Danube face à la Roumanie. Nous y sommes pour un séminaire de la New Lacanian School et un module CIEN. Quatre-vingt personnes y participent sur trois jours ! Comment en sommes-nous arrivé-là ?
Tu as 47 ans. Tu es psychologue et psychanalyste, membre de la NLS et du GIEP (société israélienne de la NLS). Tu habites à Haïfa. Tu travailles dans une institution au nord d’Israël. Pourrais-tu nous dire quelques mots sur cette institution ?
Tu travailles dans deux services qui se trouvent à la croisée des discours. Le premier se situe entre Education et Santé mentale, le second, entre Santé mentale et Protection de l’enfance. Comment, dans de tels contextes, fais-tu une place à la singularité du sujet?