Mental n°39 – Psychologie des masses aujourd’hui

Mental n°39 – Psychologie des masses aujourd’hui

SOMMAIRE

Éditorial, Domenico Cosenza

Haine, populismes, jouissances mauvaises… qu’en est-il du lien social aujourd’hui ?

Mental 39 tente d’élucider ce malaise profond dans l’identification et la psychologie des masses aujourd’hui.

Qu’en est-il du lien social à notre époque ? Quel est son statut ? Sa nature ? Une relecture de la psychologie des masses, la Massenpsychologie, de Freud est nécessaire pour répondre à cette question.

La haine, les discours qui tuent, les populismes, les jouissances mauvaises sont de retour en Europe, qui croyait les avoir bannies à jamais. Comment cerner ces changements dans le discours social actuel, dans l’environnement politique contemporain et dans la clinique ?

Mental n°39 nous aide à déchiffrer ce profond malaise dans l’identification et la psychologie des masses aujourd’hui.

  • Des éclairages sur les masses contemporaines et la haine dans le lien social
  • Des contributions sur le destin de l’Europe vu par la psychanalyse
  • Un cours inédit de Jacques-Alain Miller sur les mutations de l’identification et du lien social
  • Une interview de Pascal Ory, historien, sur le populisme contemporain
  • La clinique et la logique des cas singuliers

Masses contemporaines et objets au zénith

Le triomphe des objets, Marie-Hélène Brousse

Discours qui tuent

L’ère de l’irresponsabilité, Gil Caroz
L’usage arbitraire de la loi ou l’attaque de la démocratie contre elle-même, Angelina Harari
Haine et violence dans l’expérience subjective et dans le lien social, Daniel Roy
Un environnement hostile, Roger Litten
Au-delà du discours de haine, une invention d’Orban, la diabolisation personnalisée, Kinga Göncz
Il ne nous reste plus que la parole, Carlo De Panfilis
Discours et jouissances mauvaises, Éric Laurent

Extermination et brouillage

Discours gris, Guy Briole

Amour et haine pour l’Europe

Haine implacable et amours prudents, Marco Focchi
L’Europe du discours, Christiane Alberti
L’Europe n’existe pas. La place manquante d’une politique européenne, Matteo Vegetti
Europe des identités et des différences, Ferruccio Capelli
Refuser d’être admis au banquet des autres, Miriam Chorne
L’Europe à l’épreuve de la haine, (parties I et II), Éric Laurent

L’interview de Mental

L’individualisme de masse à l’ère du populisme, Pascal Ory

Nouveaux enjeux de la psychanalyse au XXIe siècle,

Malaise dans l’identification, Jacques-Alain Miller

Logique de la clinique

Se débarrasser de son devoir tyrannique : sic volo, sic jubeo, Angelina Harari
Le désir, un pari politique, Paola Bolgiani
Désir et pulsion, Manuel Fernández Blanco
Désir de l’analyse, Marta Serra Frediani
La jouissance de la chute et le désir de l’analyste, Domenico Cosenza
Donner suite à l’acte de Freud et Lacan, Rosa Elena Manzetti
Ressac sur le littoral : vers un nouveau signifiant, Loretta Biondi
Disruptions libidinales d’une femme mariée, Marga Auré
Le mariage, un passage obligé, Analie Pourtier
L’homme qui voulait être une femme, Pénélope Fay
Pas pour tous, Luc Garcia

Autres liens, autres lieux

« Un nom digne », Claude Parchliniak
Comme un seul homme ?, Marion Outrebon
Gael Faye, de l’exil à la trouvaille d’un pays, Sophie Lecocq-Simon

Forums Européens

Forums Européens

Forum Européen – Zadig en Belgique -Les discours qui tuent

Forum européen organisé par Zadig en Belgique

Université Saint-Louis, Bruxelles

1 décembre 2018

Forum Européen organisé par les psychanalystes de Zadig en collaboration avec le Réseau Interdisciplinarité-Société (Ris) de l’Université Saint Louis, avec le soutien de l’Ecole de la Cause freudienne (ECF) et de la New Lacanian School (NLS), et sous les auspices de l’EuroFédération de psychanalyse (EFP).

Tout le monde, si une telle expression est soutenable, voudrait sans doute que les camps de concentration nazis ne soient qu’une horreur sans lendemain. Le Dr Lacan était pour sa part sans illusion et considérait au contraire que leur émergence, qui a fait rupture dans l’Histoire, représente la réaction de précurseurs par rapport aux remaniements sociaux engendrés par la mondialisation et provoqués par la science. « Notre avenir de marchés communs, écrivait-il, trouvera sa balance d’une expression de plus en plus dure des procès de ségrégation ».[1] Aujourd’hui, en Europe, nous y sommes. L’effacement des frontières géographiques et culturelles a comme pendant une escalade des énoncés promus par les ennemis du genre humain dans les années 30 du siècle dernier. Ceux-ci se sont propagés, tout en se banalisant, dans les discours ambiants qui fondent le lien social. La conséquence en est un rejet radical de l’étranger par des actions violentes et criminelles devenues quotidiennes.

Il y a donc des discours qui tuent. Leur caractère est insidieux car ils n’ont rien de véhément. Ils n’appellent pas à la mise à mort, leur langue est lisse, politiquement correcte. Ils se présentent comme étant l’expression de nécessités incontestables écrites dans les astres. On ne dit pas qu’il faut fermer les frontières du continent et laisser les migrants se noyer dans la mer. On dit plutôt : « on ne peut pas accueillir tout le monde, n’est-ce pas ? » L’action criminelle de non-assistance à des personnes en danger est camouflée derrière une éthique légaliste : « je ne fais qu’appliquer la loi ».

Pire. Ces discours ne sont pas haineux. Ils sont froids et rationnels, opérant au nom du bien-être des nations. Les agents de ces discours qui tuent se présentent comme des grands serviteurs de l’Etat, voire même comme des héros modernes sacrifiant leur humanité pour faire leur devoir. Ils prétendent qu’ils ne font que dire et faire ce que tout le monde pense. De fait, ils mettent les pulsions les plus meurtrières au service d’un soi-disant bien commun. Rien n’est plus facile que de mobiliser ces pulsions puisqu’elles font partie de notre humanité. Mais en faisant appel à ce mal qui est en chacun de nous, c’est la dimension éthique qui est bafouée. Car le fait que nous pouvons tous avoir des fantasmes assassins ne justifie pas de les faire passer à l’acte.

A se laisser endormir par ces discours qui banalisent le pire, grand est le risque de s’en rendre complices. Lors du Forum européen du 1er décembre 2018, nous tâcherons de les débanaliser en montrant leur portée diabolique. Ces idéologies qui se prétendent neutres, mais qui sont criminelles dans leurs conséquences, ne peuvent pas compter parmi les éléments légitimes de la démocratie. Il s’agit donc de produire un discours qui résiste et combat les discours qui tuent.

[1] Lacan J., « Proposition du 9 octobre 1967 sur le psychanalyste de l’École », Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 257.

Gil Caroz

Pour le Comité d’organisation du Forum

Mental n°38 – Étranger(s)

Mental n°38 – Étranger(s)

SOMMAIRE

Éditorial, D. Cosenza

Mental 38 s’interroge sur les figures de l’étranger en ces temps de crises migratoires et de montée des protectionnismes nationaux. Un ensemble de contributions originales et d’analyses approfondies mettent en lumière les apports spécifiques de la psychanalyse, distincts des approches sociologiques, géopolitiques…

Sous le titre « Étranger(s) », Mental avance en nouant deux axes :
– d’une part, l’étranger, c’est l’inconscient même, ce “territoire étranger intérieur” logé au cœur de notre être ;
– d’autre part, la problématique de la migration, d’une brûlante actualité en Europe et dans le monde ; le migrant est celui qui quitte son pays pour chercher refuge, protection, travail, meilleures chances de vie dans un autre lieu.

  • Une thèse forte et inédite de Jacques-Alain Miller sur les causes obscures du racisme.
  • Les figures de l’étranger et les conséquences des flux migratoires du point de vue de la psychanalyse.
  • Des témoignages sur les nouvelles situations cliniques rencontrées sur le terrain.
  • Une interview exclusive de Catherine Wihtol de Wenden, abordant le réel des migrations face aux préjugés politiques.

 

L’ÉTRANGER, L’ÉMIGRANT

Antonio Di Ciaccia, Forum Rome
Antoine Cahen, Dublin vu de Rome. Hospitalité et hostilité en Europe
Céline Menghi, Étranger, bilingue, a-patride
Franco Lorenzoni, Rompre les distances
Miquel Bassols, L’étranger dans la langue familiale
Andrés Borderias, Immigrant, étranger, étrange
Paola Bolgiani, L’étranger : les sans noms
Lilia Mahjoub, Portes ouvertes, portes fermées
Patricia Bosquin-Caroz, Après Lampedusa. De l’affect à l’action politique
Réginald Blanchet, Toute la misère du monde
Éric Laurent, L’étranger extime

FIGURES DE L’EXIL

Valérie Pera-Guillot, Accueillir l’impensable
Damien Botté, Clinique de l’exil
Florence Frachon, Errances migratoires
José Ramon Ubieto, La « solution » de l’étranger
Laura Storti, « Des mots qui irritent la gorge » : l’indicible d’Irina
Jessica Tible, L’envers de l’exil
Judith Zabala, « Je suis en dehors de tout ; je regarde cette guerre de l’extérieur et tente de me retrouver intérieurement »

L’INTERVIEW DE MENTAL

Rencontre avec Catherine Wihtol de Wenden, Au-delà des préjugés, le réel des migrations

NOUVEAUX ENJEUX DE LA PSYCHANALYSE AU XXIe SIÈCLE

Jacques-Alain Miller, Les causes obscures du racisme

TRAVERSÉES

Clotilde Leguil, Dénuement : dénouement
Patricia Tassara, Retour du fantasme au sinthome : une identification impossible
Lilia Mahjoub, Politique du transfert
Marina Frangiadaki, Un désir à ne pas abandonner
Dominique Martin, Sur les atours d’un désir d’enfant contrarié
Mikhaïl Strakhov, Le château de sable
Els Van Compernolle, Le réel ment

AUTRES LIENS, AUTRES LIEUX

Jean-Philippe Parchliniak, Hihanappât
Pascale Fari, Déshumanisation ultime
Edwige Shaki, D’une langue l’autre
Francesca Biagi – Élie Guillou, Réfugiée sous une bâche – Cette voix
Éléonore Parchliniak, Sans nom

Mental n°37 – Désirs de démocratie

Mental n°37 – Désirs de démocratie

La crise de la démocratie, la notion d’État de droit et l’engagement de la psychanalyse dans le champ politique.

Tandis que la montée des formations néofascistes menace la démocratie en Europe, des désirs de démocratie se font entendre. La psychanalyse est concernée et elle réinvente ses modalités d’intervention. Car le champ politique conditionne la clinique, les institutions et l’existence même de la psychanalyse.

Qu’est-ce que la démocratie envisagée du point de vue de la psychanalyse ? Mental fait le point sur la crise de la démocratie et la notion d’État de droit.

Une interview de Blandine Kriegel, des textes exclusifs, des cas cliniques et des articles branchés sur l’actualité pour repenser les rapports entre psychanalyse et politique.

  • La crise de la démocratie revisitée par la psychanalyse
  •  Les rapports entre psychanalyse et politique
  • Une interview exclusive de Blandine Kriegel
  • Un inédit de Jacques-Alain Miller sur l’État de droit et l’exception
  • Lieux de crise en Europe : quelles perspectives ? quels enseignements ?

 

SOMMAIRE

Éditorial, Domenico Cosenza

Le premier Forum Européen de Turin : « Désirs décidés de démocratie en Europe » Que faire avec la haine ?

Rosa Elena Manzetti

Nouvelles incarnations du désir de démocratie en Europe Éric Laurent
Démocratie 2.0 et transformation du droit. Catalogne/Espagne au XXIe siècle Enric Berenguer
Un désir décidé de démocratie Xavier Esqué
La récession démocratique Luciano Violante
Désirs de liberté et de démocratie. Un couple grand et fragile Gabriele Magrin
Nos moyens propres Christiane Alberti
Démocratie ? Absolument ! Mais sous quelle forme ? Pierre-Gilles Guéguen
Démocraties sans père Marie-Hélène Brousse
La République et la révolte des désirs Yves Vanderveken
Renouer la démocratie au désir Domenico Cosenza
Désirs décidés et passions gaies en démocratie Éric Laurent— Lieux de crise en Europe
La belle âme de l’intellectuel Miquel Bassols
Que se passe-t-il à Barcelone ? La difficile « passe » du nouveau Anna AromÍ
La Catalogne malheureuse : le peuple veut-il ce qu’il souhaite ? Vicente Palomera
Une enflure managériale Gil Caroz
Dérives gestionnaires dans la politique de santé mentale en Belgique Marie Brémond
Une mobilisation citoyenne à l’heure du réseau Juliette Parchliniak

L’interview de Mental

L’État de droit à l’épreuve de la mondialisation
Rencontre avec Blandine Kriegel— Nouveaux enjeux de la psychanalyse au XXIe siècle
État de droit et exception Jacques-Alain Miller

 

Logique de la clinique

Entre identification et événement de corps Oscar Ventura
De la trame œdipienne au sinthome Silvia Nieto
Le choix et la singularité comme délire contemporain Gabriela Medin
Au-delà de l’identité sociale. Suis-je un attardé ? Rosa Godinez
La dimension structurale du diagnostic Luisella Brusa
Diagnostique-moi ! Maria Bolgiani
Le bon usage de l’hérésie Luisella Mambrini
Une épine dans le savoir Valeria Sommer Dupont
Des moufles en été Romain Lardjane
Une homosexualité imposée Clément Fromentin
Pour une lecture borroméenne de l’autisme Francesca Biagi-Chai
Une manière d’être au monde Maria Jesus Sanjuan

Autres liens, autres lieux

Ubérisation et démocratie au temps de la révolution numérique Cinzia Crosali
Des cris d’indignation globalisés Nicolás Landriscini
Coby, peindre la voix, sans erreur Fabrice Bourlez
Mais comment est-il possible que vous vous sentiez si seule dans notre unité socialiste ? Nina Krajnik

Mental n°36 –  L’inconscient intime et politique

Mental n°36 – L’inconscient intime et politique

Édito

L’inconscient aux temps arides de la globalisation.

Qu’est-devenu l’inconscient à l’époque de la gouvernance algorithmique, du moi mondialisé et de la digitalisation de l’être ?

L’inconscient survit, l’inconscient persiste, l’inconscient se manifeste là où on ne l’attend pas. Car l’intimité dont il est question passe au travers des mailles du Big Data. Jamais le

recueil de données numériques ne pourra donner accès au sujet et à son désir inconscient. Jamais le symptôme ne se laissera gouverner par l’empire du nombre. L’inconscient intime et politique, hérétique à son époque, est ce dont il est question dans ce numéro de MENTAL.

Que l’inconscient soit de l’ordre de l’intime, on l’a toujours su. C’est en tous cas d’un nouveau rapport à l’intimité de chacun dont il est question avec la découverte de Freud. Qu’il soit aussi d’ordre politique, peut paraître plus surprenant. En quel sens le rapport de chacun à son inconscient pourrait-il avoir un quelconque lien avec la dimension du politique ? Freud n’a-t-il pas rompu avec Jung en 1921 en récusant toute idée d’un inconscient « collectif » ? La psychanalyse ne s’applique pas aux masses et il n’y a pas de psychanalyse des foules. En revanche, il y a bien une hypnose des foules et Lacan nous l’a appris, l’expérience analytique est plutôt une hypnose à l’envers. Car c’est le psychanalyste qui joue l’hypnotisé, suivant l’objet a à la trace.

Pourtant, l’intime et le politique sont noués. Reste à savoir en quel sens. Est-ce au sens où « tout » serait politique, où « tout » se réduirait à des rapports de domination entre oppresseurs et opprimés ? Cette lecture issue de la théorie marxiste tend à annuler le propre de la psychanalyse, soit le rapport à l’inconscient. Penser que « tout » est politique, c’est aussi nier le champ de l’intime et fuir le « je » en se réfugiant dans le « nous » de la masse ou de la communauté. La solution communautaire n’est pas la solution proposée par l’expérience analytique.

Peut-être alors qu’affirmer de l’inconscient qu’il est intime et politique, c’est dire qu’au XXIe siècle l’intime faisant dorénavant partie de l’espace public, l’inconscient pourrait lui aussi se partager sur la Toile. L’amour, la mort, la souffrance psychique, les symptômes pourraient-ils donc au XXIe siècle être mis en commun, en toute transparence ? Non. Ce n’est pas non plus le sens à donner à cette articulation de l’intime et du politique en psychanalyse. L’intime dont il est question dans la cure n’est pas son exhibition sur la Toile. L’intime est de l’ordre d’un savoir secret, qui échappe au sujet lui-même.

Mais la surprise de l’expérience analytique, c’est qu’elle est une expérience à deux, une sorte d’éternel retour d’un tête-à-tête singulier, et qu’elle débouche sur un rapport renouvelé à l’Autre et à la civilisation. En un mot, la psychanalyse comme expérience intime ne conduit pas à se détourner du monde et de son époque, mais donne envie de s’engager autrement dans le lien social. Cet engagement n’est pas tout à fait du même ordre que le militantisme. Il ne s’agit pas de faire passer sa vérité au collectif et de se sentir par là même soulagé, « du poids que la vérité pèse sur nos épaules », comme le disait Lacan en 1969. Il s’agit de s’engager sans faire disparaître le point depuis lequel chacun a eu affaire à ce qui ne peut se partager, soit à la lettre singulière qui a marqué son corps.

Aux temps arides de la globalisation, avatar mondialisé du scientisme, Google est le nouveau nom du grand Autre.

C’est aussi le lieu où se manifeste son incomplétude. Car cet Autre répond à tout sauf à l’énigme qu’est pour chacun son symptôme. La psychanalyse a alors plus que jamais une portée politique au XXIe siècle. Car elle sauve le « je » là où la Toile fait primer le « on » et le moi mondialisé. Elle sauve le choix subjectif, là où les algorithmes ne cessent aujourd’hui de choisir à notre place. Tel est l’effet éthique et politique de la psychanalyse.

Clotilde Leguil

Retour sur pipol 8 : La clinique hors-les-normes

Patricia Bosquin-Caroz 4e Congrès de l’Eurofédération de psychanalyse

Diagnostiquer le présent

Christiane Alberti Les sans-nom et les normes

Neus Carbonel L’autiste, hors-les-normes

Marco Focchi Le bonheur normal et les autres

Réginald Blanchet Être dans le champ politique comme analyste

Henri Verdier Le pouvoir des algorithmes

Jean-Yves Pranchère « Réponse au populisme »

Pierre Mertens Le populisme n’est pas un humanisme

L’interview de MENTAL

Rencontre avec Frédéric Worms Les Maladies chroniques de la démocratie

Nouveaux enjeux de la psychanalyse au xxie siècle

Jacques-Alain Miller « Les Hérétiques », Turin 2017.

Logique de la clinique

Lilia Mahjoub Autour de l’inconscient

François Ansermet L’acte ou l’inconscient

Jérôme Lecaux La haine ne se dissout pas

Hélène Guilbaud « Perdre un enfant »

Dalila Arpin Dédicace manquée

Laurent Dupont Une épreuve de solitude

Caroline Doucet « La recette »

Fabian Fajnwaks Les cours de la jouissance

Daniel Pasqualin Amour et mammographie

Véronique Voruz « Shallow Tongue »

Dominique Holvoet Un rêve a traversé mon analyse

Valérie Pera-Guillot Demandeur d’asile

Laura Sokolowsky Dans le cœur sombre de la bureaucratie

Alice Ha Pham Pas n’importe quoi

Ruzanna Hakobyan Un capitaliste hors norme

Thomas Roïc Pensées dégoûtantes

Florence  Frachon La rue : une trajectoire

Autres liens, autres lieux

Jean-Daniel Matet Sur La fracture de Gilles Kepel

Virginie Leblanc L’inéducable en soi

Philippe Lacadée Zweig avec Freud

Emmanuel Maudet Note sur la subversion lacanienne du structuralisme

Émilie Descout Réponse lacanienne aux féministes de tout temps