Mental n°50 – Gourmandise du surmoi

Mental n°50 – Gourmandise du surmoi

Résumé

Les formes sous lesquelles le surmoi se présente varient en fonction des discours dominants, mais sa voracité, qui est consubstantielle à l’être parlant, persiste et signe l’irréductible du malaise dans la civilisation. Nous sommes passés d’un régime d’interdiction de la jouissance à celui de l’impératif de jouissance – tout autant impossible à satisfaire. Cette bascule entre l’interdiction et la prescription n’est pas sans modifier les formes que revêtent les inhibitions, symptômes et angoisses contemporaines, qui portent désormais la marque de l’excès plutôt que celle du manque. Les discours actuels, charriant leur lot d’injonctions à la consommation, à la réussite, à la beauté, à l’autodétermination, alimentent la gourmandise du surmoi et laissent le sujet aux prises avec l’impossible à jouir. Derrière cette liberté apparente, on voit poindre un nouvel « ordre de fer », gouverné par des mots d’ordre souvent porteurs de haine.

Mais en deçà de ces changements de discours, ce qui ne se modifie pas et que le surmoi révèle, c’est que l’être parlant est dès l’origine soumis à la contrainte de signifiants insensés, qu’une analyse peut permettre d’isoler afin de tempérer la jouissance qu’ils sécrètent.

Points forts – Mots clés

  • Une conférence de Jacques-Alain Miller inédite en français.
  • Des contributions d’auteurs des différentes Écoles de l’EuroFédération de psychanalyse avec :
  • des textes qui démontrent comment l’expérience analytique peut permettre de cerner et de traiter le surmoi.
  • des textes qui éclairent, grâce aux concepts analytiques, certains phénomènes qui traversent notre époque : addictions, déflation du désir, culpabilité, passages à l’acte.
  • un aperçu de la façon dont la littérature classique et contemporaine, ainsi que le cinéma et les séries, traitent du thème du surmoi.

Un entretien avec Jean-Claude Caron, historien, qui revient sur les débats concernant l’éducation et les violences pédagogiques au xixe siècle, offrant une nouvelle perspective quant aux différentes prescriptions auxquelles ont affaire de nos jours les enfants, adolescents, parents et enseignants.

 

Éditorial :

De l’interdit à l’impératif

 Le titre de ce numéro de Mental pourrait faire penser à un oxymore : lorsque Freud introduit le concept de surmoi au sein de sa seconde topique, il en fait une instance interdictrice, qui permettrait la régulation des pulsions. Cependant, il entrevoit déjà un au-delà de ces effets civilisateurs : le surmoi ne tourmente pas moins ceux qui obéissent à ses interdits, et il se révèle même d’autant plus sévère que l’on tente de se montrer vertueux [1]. Cette bifidité du surmoi le mettra sur la voie de l’existence d’une compulsion de répétition qui s’exerce contre le sujet lui-même, et qu’il nommera pulsion de mort.

Dans la conférence, inédite en français, qui ouvre ce numéro, Jacques-Alain Miller indique que le surmoi est le premier concept freudien qui retient Lacan, dans la mesure où sa propre recherche est « habitée par la division du sujet contre lui-même, c’est-à-dire par l’idée qu’il n’est pas logique de supposer que le sujet cherche son propre bien [2] ». Lacan soulignera plus tard que la « gourmandise dont [Freud] dénote le surmoi est structurale, non pas effet de la civilisation, mais “malaise (symptôme) dans la civilisation” [3] ». Disons que les formes sous lesquelles le surmoi se présente varient en fonction des discours dominants, mais que sa voracité, qui est consubstantielle à l’être parlant, persiste et signe l’irréductible du malaise dans la civilisation.

L’éducation est un champ privilégié pour saisir les mutations du surmoi et, dans l’entretien qu’il a accordé à Mental, l’historien Jean‑Claude Caron décrit un xixe siècle traversé par d’intenses débats sur la manière d’obtenir l’obéissance des citoyens en devenir, tandis que montent les peurs face aux « adolescents criminels ». Ces réflexions offrent une nouvelle perspective quant aux différentes prescriptions auxquelles ont affaire de nos jours les enfants, adolescents, parents et enseignants.

Nous sommes passés, entre le xixe et le xxie siècle, d’un régime d’interdiction de la jouissance à un autre où il est interdit d’interdire – régime qui se révèle désormais comme étant celui de l’impératif de jouissance. Or Lacan a démontré que cette injonction surmoïque est tout autant impossible à satisfaire : le sujet butera toujours sur un manque-à-jouir [4]. Cette bascule entre l’interdiction et la prescription n’est pas sans modifier les formes que revêtent les inhibitions, symptômes et angoisses contemporaines, qui portent désormais la marque de l’excès plutôt que celle du manque. Les discours actuels, charriant leur lot d’injonctions à la consommation, à la réussite, à la beauté, à l’autodétermination, alimentent la gourmandise du surmoi et laissent le sujet aux prises avec l’impossible à jouir. Derrière cette liberté apparente, on voit poindre un nouvel « ordre de fer [5] », gouverné par des mots d’ordre souvent porteurs de haine et qui, avec les réseaux, disposent désormais « d’une agora à la topologie inouïe : délocalisée, bordée par rien, illimitée [6] ».

Mais, en deçà de ces changements de discours, ce qui ne se modifie pas et que le surmoi révèle, c’est que l’être parlant est dès l’origine soumis à la contrainte du signifiant tout seul, insensé, et donc porteur d’une jouissance pure [7]. On peut dès lors considérer, comme le souligne Adriana Campos, que « le surmoi est l’incorporation, à notre insu, d’un corps étranger, d’une énonciation qui vient d’ailleurs et qui reste à la fois enkystée et agissante [8] ». La clinique nous enseigne que ces trognons de paroles surmoïques sont particulièrement intriqués dans l’objet voix et dans l’objet regard [ix]. L’expérience analytique, si elle est portée par une éthique qui tient compte de la gourmandise du surmoi, peut permettre d’isoler ces signifiants insensés et de tempérer la jouissance qu’ils sécrètent, au profit du désir.

Alice Delarue

[1] Cf. Freud S., « Le moi et le ça », Essais de psychanalyse, Paris, Petite bibliothèque Payot, 1983, p. 266‑270.
[2] Cf. Miller J.-A., « Clinique du surmoi », dans ce numéro, p. 16.
[3] Lacan J., « Télévision », Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 530.
[4] Cf. Lacan J., Le Séminaire, livre vii, L’Éthique de la psychanalyse, texte établi par J.‑A. Miller, Paris, Seuil, 1986, p. 208.
[5] Cf. Koretzky C., « Du nouage par le social », dans ce numéro, p. 69‑72.
[6] Ramírez C., « Massenpsychologie à l’ère des algorithmes », dans ce numéro, p. 80.
[7] Cf. Miller J.-A., « Clinique du surmoi », op. cit., p. 21.
[8] Campos A., « Extraire un corps étranger ? », dans ce numéro, p. 30.
[9] Cf. Langelez-Stevens K., « L’effet de suggestion », dans ce numéro, p. 74.

 

SOMMAIRE

numéro 50 / Novembre 2024

ÉDITORIAL

Alice Delarue, De l’interdit à l’impératif

— ORIENTATION

Jacques-Alain Miller, Clinique du surmoi

— INCIDENCES ET TRAITEMENTS

Adriana Campos, Extraire un corps étranger ?

Rosa María López, La tyrannie de la beauté

Roberto Cavasola, L’hypomanie, une folie organisée

Abe Geldhof, L’impitoyable autoévaluation

— MUTATIONS DU SURMOI

Philippe De Georges, De « la grosse voix » à la boussole

Dominique Holvoet, La nature humaine du père

Carolina Koretzky, Du nouage par le social

Katty Langelez-Stevens, L’effet de suggestion

Camilo Ramírez, Massenpsychologie à l’ère des algorithmes

— MODULATIONS CLINIQUES

Philip Dravers, Entre la voix et le regard

Christel Van den Eeden, Senza pelle

Marta Serra Frediani, Viser l’indicible

 — SUBLIMATIONS

Victoria Horne Reinoso, L’impératif de l’acte créatif

Claudia Iddan, Passion de l’ignorance

Guy Briole, Engagés à lire et relire Lacan

— ENTRETIEN AVEC JEAN-CLAUDE CARON

L’éducation au xixe : par la raison ou par la force ?

— L’ÉDUCATION IMPOSSIBLE

Sébastien Ponnou, Enfance sous prescription

Andrea Freiría, Déplacements des impératifs parentaux

Pasquale Indulgenza, Voies du surmoi et de l’idéal dans la filiation adoptive

Paola Bolgiani, Adolescence et violence

Philippe Lacadée, Le sujet en faute de jouissance

Pénélope Fay, Madame de Sévigné : injonctions de la mère, demandes insatiables d’une femme

Pascale Lartigau, La comtesse de Ségur, main de velours dans un gant de fer

— LECTURES

Philippe Hellebois, La passion de Lucien de Rubempré

Anastasia Sotnikova Faraco, Ça promet !

Lorenzo Speroni, Un silence imposé

Céline Menghi, Amelia Rosselli, une vie suspendue 

Rapport de l’Observatoire sur l’autisme du 16/11/2024

Relazione dell’Osservatorio sull’autismo per l’Assemblea dell’Eurofedera-zione di psicoanalisi. Paris 16/11/2024

A livello internazionale, l’OMS ha pubblicato alla fine del 2023 una serie di testi sotto il titolo Pacchetto di interventi di riabilitazione[1], il cui numero 5 è dedicato ai Disturbi dello sviluppo neurologico, ivi compresi i disturbi dello spettro dell’autismo, e i disturbi dello sviluppo intellettuale. Questa tendenza, che si impone, colloca l’autismo tra il neuro e la disabilità ed è nei suoi effetti epistemici, clinici e politici, che dobbiamo trarre conseguenze. La sua lettura mostra con crudezza, il radicalio del soggetto e della soggettività nel considerare le difficoltà delle persone con autismo e le loro famiglie e le opzioni di trattamento.

Nessuna novità, allora. In questo senso qualcosa di diverso può venire dal lavoro che sta svolgendo una commissione dell’AMP, come organismo consultivo dell’ONU, e questo organismo mondiale, per l’elaborazione di un documento sull’Orientamento Lacaniano in relazione all’autismo, Secondo il nostro collega Iván Ruiz.

Nel quadro delle scuole dell’Eurofederazione, vale la pena di notare che, insieme al funzionamento regolare e consolidato di istituzioni a lungo termine come Antenne 110, Le Courtil, Nonette o CERA; altre istituzioni più giovani, come TEAdir in Catalogna o Antena 00100 a Roma, avanzano consolidando il loro lavoro.

Un riferimento particolare merita la serie di strutture che accolgono soggetti autistici da parte dei membri della NLS e dei gruppi della NLS, in Albania, Grecia, Irlanda, Israele, Polonia e Svizzera, con diverse strutture istituzionali: Servizi psichiatrici e di psichiatria infantile in Centri ospedalieri o in Istituti, Unità cliniche e Centri di cura terapeutica; Ospedale di giorno per crisi e valutazione a breve termine; Istituzioni residenziali e Centri di accoglienza diurna, nel quadro dei servizi sociali o sanitari; Centri diurni e scuole specializzate. In tutti loro accolti bambini, adolescenti e adulti con disturbi dello spettro autistico, disabilità, gravi disturbi mentali, diverse forme di sofferenza psichica e difficoltà nel legame sociale. Ognuna di esse, in forme diverse, mantiene spazi per la formazione, per l’esposizione e il controllo della pratica che svolgono, come seminari clinici, presentazioni e discussione di casi, spazi di supervisione. Una parte di coloro che svolgono la loro pratica in questi dispositivi sono in analisi con membri della NLS o di uno dei suoi gruppi.

Un dossier dettagliato, con le informazioni che ciascuna delle scuole EFP ha inviato all’Osservatorio, sarà diretto alle rispettive presidenze in modo da poter essere trasmesso ai colleghi che lavorano con persone autistiche e alle loro famiglie, per coloro che possono essere uno strumento di lavoro utile.

Jesús Sebastián, per l’Osservatorio sull’autismo dell’EFP

[1] https://www.who.int/publications/b/67925

L’Atelier n°8

L’Atelier n°8

Preámbulo del último número de L’Atelier

Publicado el 12 octubre, 2024 de lucia 1787
Rubén Touriño

En la época de su seminario sobre Hegel en la École Pratique des Hautes Études y a partir de la concepción de la pintura como “el arte de la visión de la superficie”, Kojève ofrece en su ensayo “Las pinturas concretas de Kandinsky” (1936) una definición universal de la escultura y la arquitectura a partir del punto de vista del percipiens. La arquitectura es así propuesta como “el arte de la visión de una forma o un espacio encerrado en el Espacio”1— en oposición a la escultura cual “arte de la visión de un espacio o una forma encerrada por el Espacio”2: se trataría en el segundo caso de la visión de una superficie que no podríamos atravesar para acceder a contemplar el espacio delimitado en su interior, como sí sucedería en el primer caso. Dicho de otro modo, se podría contemplar el interior de un edificio, pero no de una estatua. Habría quizás que esperar a desarrollos como, entre otros, los de Gordon Matta-Clark y su anarquitectura, a través de la cual las obras arquitectónicas eran transformadas en objetos escultóricos manipulables, donde el adentro y el afuera no era la referencia a ubicar, sino los cortes que hacían posible ese recorrido.
Lacan, hablando a las paredes de la capilla de Sainte-Anne (1972), se referirá al hegelianismo para proponer que el arquitecto “está hecho para eso, para construir muros. Y los muros […] están hechos para rodear un vacío”3. Pero a continuación añade que no tenemos la menor idea de lo que sucedía por ejemplo en los muros del Partenón, tenemos los nombres de las fiestas que allí acontecieron porque alguienasí las fechó, pero no testimonios de lo que pasaba. Quizás podemos encontrar aquí una articulación entre los muros y el significante —aunque ya en el Seminario 7 (1960) ofrece un breve comentario de la historia del arte para introducir el objeto de la anamorfosis, pasando de la arquitectura primitiva como algo organizado alrededor de un vacío, a la arquitectura sometida a las leyes de la perspectiva que introduce la pintura, destacando la primacía del significante4.
Como también lo serían aquellos fenómenos de los que da cuenta Schreber y que “en la zona oculta del campo perceptivo, en el pasillo, en el cuarto del vecino”5, se le imponen como producidos intencionadamente para él al tiempo que el espacio adopta así una nueva configuración por efecto del significante. Es así como JeanPierre Rouillon nos remitirá al escrito “De una cuestión preliminar…”: una de las referencias paraorientarse alrededor de cómo considerar el espacio en Nonette ; allí, “Lacan hace una cosa absolutamente formidable entre el significante y el espacio […] Esto es lo que nos ha guiado: cómo la organización del espacio estaba anudada —porque no se puede decir articulada, dadas las personas que acogemos— a la cuestión de la relación con la lengua”6.
Unos meses más tarde de la intervención previamente referida en Sainte-Anne en enero de 1972, contemporánea al Seminario 19, se fecha el escrito “L’Étourdit”.
Allí podemos leer que: “La topología no está «concebida para orientarnos» en la estructura. Ella es la estructura: como retroacción del orden de cadena en que consiste el lenguaje”7. Ya no se trata de una lógica universal, esférica, del todo; sino de una lógica a-esférica, no-toda, estructura que podrá ser desvelada a través del corte como estando oculta en la primera8.
Cuando Jacques-Alain Miller afirma que “la topología no puede ser extraída de la enseñanza de Lacan”9, destaca las dos lecturas de dicha proposición: “En primer lugar, no se puede amputar a la enseñanza de Lacan de su parte topológica, so pretexto de que la misma sería árida, poco interesante, no relacionada con la experiencia analítica”10; “En segundo lugar, no se puede extraer esta topología de la enseñanza de Lacan para hacerla una disciplina independiente”11. Quizás se trate de hacerla aparecer, de producirla en algunos instantes, de hacerla pasar, como un decir, “[…] este decir que es mi topología”12. Tal vez no es pues tampoco ni prescindible ni eparable del recorrido de permitir al niño (o al adulto) producirse como sujeto, acto que busca abrirse en la práctica entre varios.
Si la buscamos en los títulos del índice, solo la encontraremos en aquel que remite al volumen mismo: “Topologías de la institución”. Sin embargo, proponemos leerla en el eje que recorre todos los trabajos, aunque no sea siempre explícitamente nombrada. Los textos de Alexandre Stevens y Antonio Di Ciaccia traducidos al castellano e incluidos en esta edición —“El psicoanálisis aplicado” y “Una institución y su atmósfera”, respectivamente— nos impactan por su actualidad casi 30 años después de su publicación. Si en el primero se sitúa con precisión la pregunta por el anudamiento entre institución y Escuela y sus consecuencias sobre el trabajo en instituciones, en el segundo no se pierde la vista sobre aquello a lo que sirve la Antenne 110: “permitir al niño acceder al acto de producirse como sujeto”13 aún ante lo imposible que se puede presentar en el caso del autismo y la psicosis. Tomará para ello “la vía de la estructura” hacia el tratamiento del Otro: insuflar aire en una atmósfera bien asfixiada, bien parasitada.
En el extraordinario recorrido de Jean-Robert Rabanel y Jean- Pierre Rouillon por la práctica entre varios de Nonette, podremos leercomo la dimensión del significante se anuda a la dimensión del espacio arquitectónico donde esta tiene lugar y cuyo uso se irá descubriendo inédito. Lugares “efímeros” en su función, como compartirá Elizabeth Escayola en el texto que cierra este mismo número.
Lugares, por qué no, como aquellos que le interesaban también a Gordon MattaClark: “donde te detienes para atarte los cordones de los zapatos, lugares que son sólo interrupciones de tus propios movimientos cotidianos”14. Precisamente en El mínimo gesto (1971) de Fernand Deligny se destaca una escena en la que dos manos no pueden anudar los cordones de unos zapatos. Su referencia a las “líneas de errar” será retomada por Iván Ruiz, no para fascinarse con una cartografía como él mismo nos advierte, “sino para situar en el centro de la práctica la cuestión topológica en las psicosis y los autismos”15. Los trabajos de Sonia Arribas y Sofía Kolle dan buena cuenta de ello, y del consentimiento —en la contingencia del encuentro con un partenaire— a la apuesta por la vía de una escritura que haga posible “un nuevo estilo de vida, entre la invención y el hallazgo”16.

1. Kojève, Alexander. “The concrete paintings of Kandinsky”. Kandinsky:Incarnating Beauty. David Zwirner Books, Nueva York, 2011, p. 32. [Traducción del autor].
2. Ídem
3. Lacan, Jacques. Hablo a las paredes, Paidós, Buenos Aires, 2018, p. 97.
4. Lacan, Jacques. El Seminario, libro 7, La ética del psicoanálisis. Paidós, Buenos Aires, 2020, pp. 170-171.
5. Lacan, Jacques. “De una cuestión preliminar a todo tratamiento posible de la psicosis”, Escritos, tomo 2, Biblioteca Nueva, Madrid, 2013, p. 536.
6. Rouillon, Jean-Pierre. “¿Qué especies de espacios?”. Véase el texto publicado en este mismo número de la revista L’Atelier.
7. Lacan, Jacques. “El Atolondradicho”. Otros Escritos, Paidós, Buenos Aires, 2012, p. 507.
8. Me remito aquí al esclarecedor trabajo que ofrecen Philippe La Sagna y Rodolphe Adam —Contrer l’Universel, L’Étourdit de Lacan à la lettre, Editions Michèle, Paris, 2020— del que tomo este breve extracto de la p. 278: “En cierto modo, esta lógica de lo aesférico (no-todo), que aparece como la estructura oculta en la esfera (todo) gracias al efecto de sujeto, es la misma que enlaza las dos frases iniciales de L’Étourdit. La fórmula «Que se diga queda olvidado tras lo que se dice…» se viste de un tono asertivo, de una modalidad universal, mientras que la segunda frase nos recuerda a continuación que sólo es válida porque es fruto de un decir, de una contingencia existencial”.
9. Miller, Jacques-Alain. “La topología en la enseñanza de Lacan”. Matemas I, Manantial, Buenos Aires, 2014, p. 79.
10. Ídem.
11. Ibíd., p. 83.
12. Lacan, Jacques. “El Atolondradicho”. Otros Escritos, op. cit., p. 500.
13. Di Ciaccia, Antonio. “Una institución y su atmósfera”. Véase el texto publicado en este mismo número de la revista L’Atelier.
14. Matta-Clark, Gordon. Entrevistas, Puente editores, Barcelona, 2020, p. 12.
15. Ruiz, Iván. “Autismo: espacio y tiempo”. Véase el texto publicado en este mismo número de la revista L’Atelier.
16. Rouillon, Jean-Pierre. “La construcción del espacio”. Véase el texto publicado en este mismo número de la revista L’Atelier.

DISAGIO NELLA FAMIGLIA – PIPOL 12

DISAGIO NELLA FAMIGLIA – PIPOL 12

Se c’è un’evidenza del Disagio della civiltà della nostra epoca, è quella delle famiglie. La famiglia non è più, come la figura del padre, la stessa. A volte ancora in apparenza tradizionale, si ritrova profondamente rimaneggiata e si presenta in forme diverse e estremamente varie: disgregata, ricomposta con figli di unioni diverse per ognuno dei congiunti, monoparentale, omoparentale, o ancora tri-parentale.  Le invenzioni non cessano di fabbricarsi, quando è necessario, un modo di fare famiglia, ora che la legge ha rimesso in causa i codici della famiglia che avevano istallato il padre come necessariamente quello di tutti i figli nati nel matrimonio. Questa ridistribuzione dei ruoli ha riguardato principalmente il rappresentante paterno ; senza dubbio sarebbe stato necessario tentare di preservare qualcosa del patriarcato, che comunque mal resiste ai colpi del discorso della scienza e del capitalismo. La famiglia è la prima istituzione umana ; è dunque simbolica e non naturale. « Pensare la famiglia nel quadro della natura è una tentazione, in quanto negli animali questi tipo di legame esiste […] »[1]  Essendo alla radice dell’istituzione umana, si può dedurre che è anche il punto di origine di tutte le altre, e singolarmente delle istituzioni di cura. Sostitute o prolungamenti della famiglia, le istituzioni non possono non prendere in conto il lavoro con le famiglie. Possono prendere distanza dall’ideale familiare sostenendosi sulla clinica del soggetto, ma non possono separarlo del suo Altro primordiale, il veicolo della sua lingua, la cui incarnazione è sempre prodotto della famiglia per quanto essa sia ridotta o assente.

Nel suo testo Affaires de famille dans l’inconscient, Jacques-Alain Miller attualizza la definizione della famiglia oggi. La famiglia non si origina più dal matrimonio, ma “la famiglia si origina dal malinteso, dal non-incontro, dalla delusione, dall’abuso sessuale o dal crimine […]” La famiglia è formata dal Nome-del-Padre, il desiderio della madre, gli oggetti a […] La famiglia è essenzialmente unita da un segreto, è unita da un non-detto […] è sempre un segreto sul godimento: di cosa godono il padre e la madre ? » [2]

La famiglia è di conseguenza il luogo privilegiato dove si esprime il Disagio della civiltà[3]. Se la famiglia è fondata per soddisfare l’Eros, lo scatenamento di Thanatos, come in tutte le creazioni umane, gli infligge il suo giogo attraverso l’intermediario del Super-Io. Nel suo grande testo sui complessi familiari, Jacques Lacan annunciava già la scomparsa programmata della famiglia paternalista[4]  sottolineando che il complesso di Edipo gli era irrimediabilmente legato. J.-A. Miller sottolinea, inoltre, che i complessi familiari, come Lacan li sviluppa, sono una prefigurazione del suo strutturalismo[5]. Senza la famiglia paternalista, luogo di formazione dell’inconscio strutturato dai complessi, si può intravedere le scomparsa progressiva dell’Edipo e delle nevrosi classiche. La nuova definizione dell’inconscio introdotta da Lacan nel 1957[6] , « l’inconscio è strutturato come un linguaggio » permette di uscire dall’impasse del romanzo edipico elaborato da Freud.

 

Il disagio nella famiglia si traduce in diversi sintomi, nei bambini e negli adolescenti : le svariate e sempre più numerose richieste agli psi per trattare i disturbi dello sviluppo e dell’apprendimento lo testimoniano, come anche la violenza e la tossicità che regnano tra gli adolescenti, senza dimenticare le numerose denuncie per molestie e abusi sessuali. Il rovescio di questo approccio classico, sarà quello di interrogarsi riguardo alla presa di posizione degli adolescenti e anche dei bambini di oggi quando si issano contro le strutture della famiglia per mandarle in frantumi. E dunque di cogliere quale può essere il posto dello psicanalista nell’incontro con questi giovani soggetti e i loro nuovi modi di essere.

Il significante padrone dell’amore regola la formazione e la separazione delle coppie e dunque delle famiglie, ma il prezzo di questa libertà condivisa, che non immaginiamo più di contestare, è alto da pagare per le famiglie. Là dove dominava la promessa di un impegno con la sua connotazione morale e dove, altrove, poteva regnare la chiusura in un ordine di ferro sotto la guida della morale religiosa, oggi c’è l’erranza amorosa che spazza via le coppie e la loro prole a seconda delle dispute, e della condivisione dei beni. Fare famiglia oggi ha bisogno di inventare dei nuovi modi di fabbricare dei legami, di vivere insieme, di costruire in uno spazio e un tempo che sono più che mai temporanei.

Ma nelle nostre metropoli coesistono anche delle famiglie che non hanno conosciuto gli effetti delle trasformazioni risultato delle opposizioni guidate dalla gioventù, le lotte per l’uguaglianza dei sessi, ecc. Vengono da diverse parti del mondo e funzionano con delle strutture tradizionali, spesso strettamente legate a delle pratiche religiose. In questa grandissima eterogeneità e diversità che la nostra società ha lasciato svilupparsi in misura della mondializzazione e dell’apertura agli altri, all’Altro diverso, costatiamo che i soggetti sono spesso dilaniati tra due discorsi del padrone : quello delle loro famiglie e quello dei valori che attraversano la società, per esempio il discorso woke.

L’angoscia è, oggi, il sintomo prevalente in ciò che ha a che fare con  la famiglia. Essa si sostituisce molto spesso ai sintomi corporei e al senso di colpa. Porta un certo numero di soggetti a decidere di non fondare una famiglia, sentendosi impotenti di fronte all’avvenire. Non sanno dove trovare l’appoggio per le sfide che la nostra società deve affrontare, per tentare di regolare ciò che il godimento degli umani non cessa di produrre, come scarti invasivi e scatenamenti di guerre.

 

L’introduzione di ciò che potremmo chiamare un Altro illimitato (internet e le sue applicazioni), sregolato (con dei codici propri che sfuggono alle legislazioni che non riescono a inquadrarne l’uso) e onniscenti (le intelligenze artificiali) al centro delle famiglie contribuisce alla disorganizzazione dei legami. Troppo informati, poco informati, costantemente alle prese con le notizie dal mondo, i soggetti hanno a che fare con un godimento illimitato che non sanno come affrontare. Questo strumento umano, come tutte le creazioni umane, trasporta il meglio e il peggio e ha un impatto diretto sul Disagio nella famiglia.

 

Ma la famiglia è anche l’uno per uno di coloro che la compongono – nonni, genitori, figli, cugini, ecc. – e di ciò che ciascuno mette in gioco della propria nevrosi o follia, che, in alcuni casi, può quietare, e, in altri, spingere al peggio. PIPOL 12 sarà l’occasione di studiare ciò che significa oggi il concetto di famiglia, ciò che contiene, o no, nella nuova configurazione delle famiglie dove l’accellerazione dei cambiamenti dei legami sociali si manifesta nelle domande e nelle modalità di una clinica che si inventa e che osserviamo nella nostra pratica.

 

[1] Jacques-Alain Miller, « Affaires de famille dans l’inconscient », Enfants terribles et parents exaspérés, Institut psychanalytique de l’enfant du Champ freudien, Paris, Navarin éditeur, 2023, p. 161.[Traduzione libera del traduttore]

[2] Ibid., p. 163 [Traduzione libera del traduttore].

[3] Freud gli consacra un capitolo nel suo saggio Disagio della civiltà, Boringhieri, 1971, p. 235-242.

[4] È così che Jacques Lacan la qualifica nel suo testo I complessi familiare nella formazione dell’individuo, Einaudi 2005, cfr. p.45.

[5] Jacques-Alain Miller, « Linee di lettura», in J. Lacan, I complessi familiari nella formazione dell’individuo, Einaudi, 2005. Cfr. p. 90-92.

[6] Jacques Lacan, « L’istanza della lettera dell’inconscio o la ragione dopo Freud », Scritti, Einaudi, 1974, p.488-523.

Mental n°49 – Maladies de la mentalité

Mental n°49 – Maladies de la mentalité

Résumé :

Les maladies de la mentalité se distinguent des maladies mentales sérieuses, telles que Jacques Lacan les qualifiait. Elles concernent ces « fous normaux qui constituent notre ambiance », ces inclassables qui échappent aux catégories psychiatriques classiques. Elles ne forment pas pour autant une nouvelle entité diagnostique, mais un concept qui nous permet de saisir une série de phénomènes qui, du fait du déclin de l’ordre social traditionnel, prennent de l’ampleur dans la clinique contemporaine : errance, quête identitaire, hypertrophie de l’image et du narcissisme, fascination pour le monde virtuel et les développements de l’intelligence artificielle.

Présentation :
Notre maladie de la mentalité

 En introduisant, aux Journées de l’École freudienne de Paris en 1976, le terme de « maladies de la mentalité », Jacques-Alain Miller a épinglé un fait clinique essentiel, dont nous n’avons pas fini de tirer des enseignements. À partir des dits d’une jeune femme rencontrée par Lacan dans le cadre de ses présentations de malades, il propose de distinguer les maladies mentales dans lesquelles le sujet a affaire à un Autre complet, et qui sont de ce fait marquées par la certitude, de celles de ces êtres qui « n’ont pas été convenablement agrippés par le symbolique, et [qui] en gardent un flottement, une inconsistance [i] ». Les maladies de la mentalité permettent de rendre compte d’une série de phénomènes qui se déploient dans le registre imaginaire, chez des sujets pour lesquels l’inscription première dans le discours de l’Autre a fait défaut. Elles annoncent des remaniements de la doctrine analytique, ouvrant la voie, notamment, à la psychose ordinaire que J.‑A. Miller conceptualisera des années plus tard.

Cependant, la portée de cette formule s’étend au-delà du champ des psychoses. La dimension du mental, qui permet « l’adéquation du physique au monde [ii] », existe chez tous les êtres doués de sensibilité. Chez les êtres parlants, en revanche, le langage et le narcissisme s’interposent, perturbant le mental et l’adaptation au milieu. Parce qu’ils croient être les auteurs de leurs paroles et de leurs pensées, parce qu’ils imaginent posséder leur corps, la mentalité des parlêtres les situe comme foncièrement débiles par rapport au réel. « Je suis un peu un théâtre de marionnettes [iii] », constate avec lucidité Mlle Boyer. Ne dévoile-t-elle pas là ce qui est notre lot à tous ?

Si nous sommes tous affligés d’une mentalité, ceux qui en sont malades nous montrent que le symbolique, seul, « ne donne pas au sujet de tenir ensemble [iv] », et que c’est le corps qui donne sa consistance mentale au parlêtre [v]. Lorsque quelque chose cloche dans ce rapport corporel, cela n’est pas sans conséquences sur la possibilité de s’identifier, d’éprouver des affects, et de s’inscrire dans le lien social. Dans la mesure où notre temps est celui de l’inexistence de l’Autre, ces phénomènes en viennent à prendre de l’ampleur dans la clinique contemporaine. La psychiatrie, qui depuis longtemps se fourvoie dans un nouvel organicisme, échoue à diagnostiquer et traiter ces sujets qui se présentent comme des inclassables – bien qu’ils viennent souvent avec leurs autodiagnostics. La rencontre avec un analyste est un recours, si celui-ci prend acte de ce que la maladie de la mentalité ne prend pas la parole au sérieux [vi] et parvient à l’élever au-delà du bavardage.

Les maladies de la mentalité nous aident aussi à éclairer certains faits de l’époque. Le déclin de l’ordre social traditionnel, de ses interdits et de ses idéaux, accentue les effets d’égarement et d’errance. Les individus se retrouvent davantage aux prises avec leurs modes de jouissance, qu’ils tentent alors par eux-mêmes d’inscrire dans un discours afin de pouvoir s’insérer dans le lien social. On assiste ainsi, d’un côté, à une hypertrophie de l’image et du narcissisme, et de l’autre à la recherche de nouvelles nominations, qui peuvent virer à la quête identitaire et se rigidifier au sein de communautés plus ou moins éphémères. Ceux qui peinent à s’insérer dans un discours peuvent être conduits à se fondre dans une masse, à adopter la mentalité du troupeau. Enfin, la fascination pour le monde virtuel et pour les développements de l’intelligence artificielle ne signe-t-elle pas que le parlêtre rêve d’être débarrassé de sa mentalité, préférant désormais s’en remettre à la machine, qui lui apparaît comme le meilleur « exemple de la santé mentale [vii] » ? Fantasme d’une pensée enfin pure, débarrassée de la dysharmonie qu’elle entretient avec le corps, que la persistance de notre maladie de la mentalité vient démentir.

Alice Delarue

[i] Miller J.-A., « Enseignements de la présentation de malades », La Conversation d’Arcachon. Cas rares : les inclassables de la clinique, Paris, Agalma / Seuil, 1997, p. 289.
[ii] Miller J.-A., « Santé mentale et ordre public », Mental, n3, janvier 1997, p. 24.
[iii] Lacan J., « Présentation de Mlle Boyer », in Miller J.‑A. & Alberti C. (s/dir.), ?, hors-série. Lacan Redivivus, Paris, Navarin, 2021, p. 119.
[iv] Miller J.-A., « L’orientation lacanienne. Pièces détachées », enseignement prononcé dans le cadre du département de l’université Paris 8, cours du 1er juin 2005, inédit.
[v] Cf. Lacan J., Le Séminaire, livre xxiii, Le Sinthome, texte établi par J.‑A. Miller, Paris, Seuil, 2005, p. 66.
[vi] Cf. Miller J.-A., « Enseignements de la présentation de malades », op. cit., p. 304.
[vii] Miller J.-A., « Santé mentale et ordre public », op. cit., p. 25.

Points forts :

. des textes d’orientation qui articulent les avancées théoriques du dernier enseignement de Lacan et la clinique contemporaine

. des textes qui éclairent, grâce aux concepts analytiques, certains phénomènes qui traversent notre époque : prédominance de l’image, recherche de nouvelles nominations qui peuvent virer à la quête identitaire et communautaire.

. deux interviews riches d’enseignements : un entretien avec Paul Bercherie, psychiatre et psychanalyste, qui apporte une perspective essentielle sur la crise du diagnostic psychiatrique, ainsi qu’un entretien avec le linguiste et spécialiste de l’intelligence artificielle Thierry Poibeau, qui amène des éclairages sur la tentation actuelle de s’en remettre à la machine pour être enfin débarrassé de la mentalité humaine.

. un aperçu de la façon dont la littérature classique et contemporaine, ainsi que le théâtre et le cinéma, traitent du thème de l’errance et de l’égarement

Sommaire

— Éditorial

Notre maladie de la mentalité, Alice Delarue

— De l’adoration du corps au corps dérobé

« Ah quel est ce corps tout à coup dont elle se sent pourvue ? ». Actualité du Ravissement de Lol V. Stein, Virginie Leblanc-Roïc

Solution genrée à la maladie de la mentalité, Inga Metreveli

Avoir un corps : du miroir à la consistance mentale, Paula Galhardo Cépil

— Rencontre avec Paul Bercherie

Les apories du diagnostic psychiatrique

— Débilité et psychose ordinaire

De l’idiotisme à la débilité mentale, de Philippe Pinel à Jacques Lacan, Mathieu Siriot

La psychose dans l’enfance : entre la mentalité et l’ordinaire, Silvia Elena Tendlarz

Il faut un dire pour que cela tienne, Enric Berenguer

La psychose ordinaire est-elle une maladie de la mentalité ?, Jean-Claude Maleval

Comment la débilité peut-elle exister ?, Pascal Pernot

— Le recours à l’analyste. Cas cliniques

Retenir le ballon, Lieve Billiet

Un peintre, Araceli Fuentes

« Je bredouille », Un cas de débilité en institution, Alessandro Siciliano

Un corps en crise, Raquel Da Matta Beauvais

Explorer la matière langagière, Ariane Fournier

— Masses, troupeau et non-dupes

L’être dans le troupeau, Guy Briole

Les bourreaux nazis, une mentalité ordinaire ?, Clément Fromentin

La mentalité, le S1 et la certitude, Laurent Dupont

Trois manières d’être malade, Clément Marmoz

— Rencontre avec Thierry Poibeau

Les troublants artifices de la machine

— Mentalité ex machina

La débilité mentale à l’ère de l’intelligence artificielle, Miquel Bassols

La machine est-elle l’avenir de l’homme ?, Cécile Wojnarowski

« Je fonctionne comme un smartphone », Vicente Palomera

— Arts de la mentalité

Le brave soldat Švejk : une métaphore de la débilité ?, Théodora Pavlova-Cullard

Les métamorphoses d’Opale, Sur Le Caméléon d’Elsa Agnès et Anne-Lise Heimburger, Eva Carrère Naranjo

Un long travelling arrière ou Sue perdue dans Manhattan, Anne Ganivet-Poumellec

Tout sauf le vide, Hélène de La Bouillerie

Religieux, corps et mentalité, à propos de Dans les yeux de Tammy Faye, Laura Ceccherelli

— Événement

« Lacan, l’exposition » : l’art interprète la psychanalyse, Dominique-Paul Rousseau